Siby N. Hedwing Migrant
Messages : 5 Date d'inscription : 29/04/2011 Age : 26 Localisation : Cherche <3
| Sujet: Venez lire ... Dim 1 Mai - 23:06 | |
| J’inaugure, j'inaugure... Alors, mesdames et messieurs, approchez-vous, mes créations ne mordent pas ! Imaginez-vous que ce sont des fanfic', pas des présentations ^^ Tout d'abords, une "vielle" présentation, qui, comme son nom l'indique, ne date pas d'hier. - Nalia Devey, c'est le nom du perso, sur un forum nommé DreamCity:
L’accouchement était difficile. L’homme n’était pas médecin, mais il voyait bien la douleur de sa femme, et la panique de la sage-femme qui l’aidait :
-Mais ne rester pas planté là! s’écria la femme, allez donc me chercher un médecin! -Quoi, mais… Pourquoi?
En fait, l’homme avait parfaitement compris que sa femme était en danger, qu’il y avait un problème, et pas des moindres, mais il ressentait le besoin de savoir quoi. La sage-femme lui jeta un regard agacé, puis dit :
-Le cordon ombilical de l’un d’eux s’est enroulé autour du coup des autres. Il est en train de les étouffer!
Il n’en fallut pas plus à l’homme. Il partit au pas de course cherché de l’aide, qu’il trouva en la présence de la femme du médecin. Il fallut cinq bonne heures pour mener l’accouchement à terme. Les deux fillettes, qui vinrent en premiers, étaient chétives, et l’une d’elle porté une marque au niveau du cou, là où le cordon avait failli l’étouffer. Quant au troisième, un petit garçon… il ne survécut pas. Mais quand il sortit du ventre de sa mère (au passage : elle, elle survécut), chacun pût voir qu’il avait les yeux grand ouvert.
Les deux filles furent appelées Ariani et Nalia. La seule différence apparente était cette marque sur le cou de cette dernière. Elles commencèrent leur enfance dans une rivalité fraternelle des plus… rivale. Bien que leurs parents tentent de leurs expliquer, sans succès, que l’amour fraternel est plus fort que tout, elles ne purent s’empêcher de se disputer. Ce qui les dérangeaient le plus était de loin le fait qu’elles soient identiques, ce qui les poussaient, quand l’une portait du noir, de porter du blanc, quand l’une décidé de portait les cheveux longs, l’autre, les cheveux court. En bref, elles faisaient tout leur possible pour ne pas se ressembler, mais sans succès. Mais il y avait quelque chose, que Nalia avait, et dont personne n’était au courant. Un don. Diffèrent du don, que comme ça sœur, ses parents, sa ville, elle possédait. Non, ce don-là avait quelque chose de plus… singulier.
Nalia courait comme elle le pouvait, du haut de ses petites jambes de fillette de quatre ans. Ari lui avait volé quelque chose, comme toujours. Mais quoi? Elle n’en avait pas la moindre idée. Toujours est-il qu’il fallait lui courir après. Et puis, elle l’aperçut. Sur le haut du muret. « Ne pas grimper sur le muret, ou le méchant vilain monstre viendra vous manger » disait toujours Papa. Et pourtant, il était sur le muret. Lui. Était-ce son double? Il lui ressemblait autant que sa sœur lui ressemblait, mais c’était un garçon. Et il avait les yeux… noirs. Entièrement noirs et vide, sans émotion. Mais c’était bien leur seule différence. En effet il avait la marque sur le cou, comme elle. « Tu as une marque, parce que un jour, une fée est descendue sur terre. Et quant elle vous à vu, si jolies, toutes les deux, elle s’est dit : Il faut que j’en ramène une chez moi. Alors elle t’a pris dans ses bras et s’est envolée. Mais quant je l’ai vue, je t’ai attrapé. Et depuis, tu à une marque.» C’était ce que disais Maman au sujet de sa marque. Elle n’avait jamais vraiment compris, mais bon. Elle continua de courir, tout en le regardant.
-Mais tu vas arrêter de courir, pauvre cruche?!?
Sous la surprise, elle trébucha. Comment pouvait-il parlé aussi bien, comme un adulte!?!
-Toi aussi, tu as été enlevé par une fée? demanda-t-elle -Pardon? Qu’as-tu dis? -Moi, une fée m’a enlevé. Alors j’ai une marque, comme toi. -C’est ce qu’il t’on dit pour expliquer ma mort! Et toi tu les crois, pauvre cruche!
Il sauta au sol et atterri comme un chat. Mais ce n’était pas possible! Il ne pouvait pas avoir son âge! Il ne pouvait pas être aussi agile! Son petit cerveau affolé battait à plein régime et elle tentait, comme elle le pouvait, d’analyser la situation. Il se rapprocha, et automatiquement, un réflexe la poussa a reculer. Il émanait de lui une aura glaciale, terrorisante.
-Écoute-moi bien, affreuse cruche. Je suis mort. Mort par ta faute. J’ai donné ma vie pour la tienne, je suis donc né avec les yeux ouverts. C’est toi qui aurais dût mourir. Pas moi. Moi j’avais un destin à accomplir. Tu vas donc l’accomplir à ma place. Que tu le veuille ou non, tu n’as pas le choix. -Mais pourquoi moi? Pourquoi pas Ari? Pourquoi? -La question à poser, c’est "Que faut-il faire pour toi, Korin?" Mais comme je ne t’ai pas dis mon nom, je te pardonne de ne pas l’avoir employé. Et comme je suis incomparablement gentil, je vais répondre à tes questions. C’est toi et pas Ariani, car c’est toi qui porte la marque! J’avais un grand destin à accomplir, Sœur. Il faut que quelqu’un le fasse pour moi. -Mais Korin… - Ne me nomme pas, hurla-t-il! Les morts n’ont pas de nom, ils n’existent que pour eux-mêmes! -Mais, Frère, si je refuse? -Tu ne refuseras pas. Frère, oui c’est mieux. Promet-moi, sœur, je t’en prie, promet-moi que tu feras tout pour l’accomplissement de mon destin, sa voie soudain devenu suppliante. -Je te promets, Frère.
Un bruit de pas la tira de sa conversation.
-Naliaaa, où es-tuuuu? -Papa, papa, je suis là! -Ah, Nalia. Tu n’allais tout de même pas franchir le muret. -Non, papa, non. Regarde qui j’ai rencontré, aujourd’hui, fit-elle en pointant l’endroit où se tenait frère. -Oh, je vois Nalia que tu t’es fait un nouvel ami! Comment s’appelle-t-il? demanda Nikaël en regardant l’espace vide que lui pointait sa fille. -Il s’appelle Korin, mais il ne faut pas le nommer! Alors je l’appelle Frère. -Quelle bonne idée! S’enthousiasma son père, qui avait perdu son sourire en entendant le prénom de son fils mort-né, et blêmi en entendant le mot frère. -Oui, il dit qu’il est mon frère, qu’il est mort-né, que je dois faire son destin, qu’il est mort à cause de la marque au cou, et qu’elle n’est pas là à cause d’une fée. -Rentrons à la maison.
Pour être honnête, elle n’avait pas tout compris du discourt de frère, mais elle suivit son père.
Étais-ce le fruit de son imagination, de sa folie, ou la vérité pure et simple? Quoi qu’il en soit, Frère vint la visiter souvent. Certaines personnes, sur Terre, parleront du don de médium. Le don de parler/voir avec les morts. D’autres diront, plus réaliste, qu’à sa naissance, sous l’effet de la compression et du manque d’air, une veine minuscule de son cerveau à éclater, la précipitant ainsi dans un délire calme. Mais qu’elle qu’en fut la raison (je penche pour la première), elle ne prit réellement conscience de se qui la rattachait à Korin le jour de ses sept ans.
Ari et elle se hurlaient dessus, comme à l’ordinaire. Cette fois, c’était pour une coupe de cheveux que Nalia avait "volé" à Ari. Mais Nalia savait bien que c’était faux. C’était Ari qui lui avait volé la coupe de cheveux. Dans sa colère, elle poussa Ari de toute ses forces. Celle-ci tomba à terre et se releva, le regard mauvais. Elle tendit la main et fit apparaître…une truite. Elle s’approcha de Nalia avec la ferme intention de la frapper. Nalia regarda autours d’elle, affolé. Elle ne savait pas faire apparaître des choses et il n’y avait pas d’échappatoire. Et à voir le regard que lui lancé Ariani, elle allait sa faire frapper à mort. Quel triste destin ! Mourir tuer à coup de truite ( et /VLAN/ Cally! Les autres, n’essayez pas de comprendre.) Frère apparut soudain à côté d’elle :
-Concentre-toi, détend-toi, imagine et crée.
Elle se tourna vers lui. Et fit ce qu’il avait dit. Un poêle (et /re-VLAN/, Cally), apparu dans sa main. Le combat entre sa sœur et elle fut un désastre. Après leur sordide affrontement, sa sœur sortit de sa chambre, des larmes de colère au coin des yeux et des bleus partout.
-Merci, Frère, murmura-t-elle au fantôme/fruit de son imagination/fruit de sa folie qui était en train de disparaître. -Au mais de rien… J’ai besoin que tu sois puissante pour accomplir mon destin.
Avec le temps, Nalia comprit que son frère l’aidait uniquement pour qu’elle accomplisse un destin qui n’était même pas le sien. Elle se mit rapidement à détester la promesse qu’elle lui avait faite, à l’âge de quatre ans. Elle commença à chercher par tous les moyens comment se débarrasser du fantôme, et un jour, vers ses neuf ans, à une fête dans un village pas loin de chez elle.
-Les deux amants s’aimaient plus que tout. Ils ne vivaient que l’un pour l’autre, racontait la conteuse, leur amour était "ad vitam aeternam" (à la vie éternelle, dixit les cours de latin que j’aime pas) Or, un jour, un cavalier vint et tomba amoureux de la jeune femme. Mais elle ne voulut pas le suivre. Alors il la tua. Son amant entra dans ne peine inconsolable. Il ne mangeait plus, ne buvait plus, ne dormait plus. Il rêvait sans dormir, le rêve lui servait de boisson, de nourriture et de sommeil. Il rêvait à elle. Un jour, il apprit que le cavalier qui l’avait tué était de retours. Alors l’amant inconsolable acheta une armure blanche, un bouclier blanc, une épée blanche et un cheval blanc. Il alla combattre son ennemi, et le vainquit. Mais avant de mourir, l’autre lui fit la remarque suivante « Si tu l’aimais tant, si tu rêves tant d’elle, pourquoi ne pas la faire revenir? Sert toi du don. » L’amant trouva l’idée bonne, et recommença à rêver son amante. Mais cette fois, il mit son don dans son rêve. Son don surpuissant et son amour réussi l’impossible. En échange des retrouvailles avec celle qu’il aimait, il perdit son don. Mais l’amour vaut mieux que n’importe quel don.
L’histoire de la conteuse fit du chemin dans sa tête : Pourquoi ne pas tenter de faire revenir son frère? Il pourrait ainsi accomplir son destin et elle serait libéré de sa charge L’idée lui parut bonne, aussi commença-t-elle à exercer son don au maximum pour faire revivre son frère, même si ce n’est possible peut-être que dans les histoires. Elle voulait entrer dans l’armée blanche, mais quelqu’un décida pour elle (devinez qui) :
Elle avait eût quinze ans! Enfin! Elle souriait aux invités, à sa sœur (miracle) à ses parents, et à la bouteille d’alcool dont elle avait peut-être un peu trop abusé. La fête était géniale, et ce devait être la première où sa sœur et elle ne se disputait pas! Elle avait déjà était invité à danser à sept reprises, et à chaque fois elle avait accepté. D’ailleurs, elle s’apprêtait à partir danser une nouvelle fois, quand elle se rendit compte à qu’elle point la tête lui tournait. Elle fit signe à ses parents qu’elle sortait prendre l’air et partit dans le jardin. Là, la fraîcheur du temps la revigora. Elle décida de faire un passage vers sa chambre, histoire de vérifier que sa coupe de cheveux tenait. En entrant dans sa chambre, elle se dirigea vers le grand miroir. Celui-ci lui renvoya une image d’elle sublime. Mais un détail clochait. Elle s’approcha du miroir et observa. Et brusquement, et s’éloigna du miroir comme si quelque chose l’avait piqué. Ce reflet, ce n’était pas le sien! Tout était identique sauf… ses yeux. Noir. Entièrement noir et vide, sans émotion.
-Tu aimes ton reflet, Sœur? susurra une voie près d’elle -Que… que m’as-tu fais, hoqueta-t-elle. -Je te montre à quoi tu devrais ressembler, si je n’avais pas pris t’as place. -Mais… pourquoi? Pourquoi me montres-tu ça maintenant? - Je t’ai entendu, murmura la voie près de son oreille, je t’ai entendu dire à ce garçon que tu allais entrer dans l’armée blanche… Et c’est hors de question!!! Tu dois faire partit des défenseurs de cristaux! C’est notre destin, Sœur.
Suite à cet événement, elle entra une nouvelle fois en compétions contre sa sœur. Pour savoir laquelle des deux entrerais parmi les défenseurs. Et laquelle des deux avait eu l’idée la première. Et oui, elles sont restées très gamines sur les bords, celles-là. Au final, c’est Nalia qui à gagner. Désormais, elle occupe l’important poste de défenseur des cristaux. Malgré le fait que frère vient la voir moins souvent qu’avant, d’autre êtres fantomatique lui parle. Deux options : Son don de médium devient plus puissant ou sa (possible) folie s’aggrave.
Je l'aime bien, et j'étais très fière de moi après l'avoir écrite ^^ La suivante:Celle-là, je l'ai fait sur un forum de Tara Duncan (où j'ai rencontré ma Nell chéwie .) Pour elle itoo, je me suis bien amusée, même si elle a été dure à réaliser sous certain angle... Au moins, elle ne manquait pas d'originalité - Elle, elle s’appelle Kerrydwen Mildway... Je l'aime <3:
Témoignage : - Moi, c’te gamine là, j’l’ai connue p’dant qu’elle ‘tait môme! Au peine p’us haute que trois p’tite pommette, hein! Faus me croire, un! M’tenant qu’elle est aussi grande que beaucoup, on’y pense pas qu’elle put êt’e p’tite! P’dant que son pôpa faisait son boulot d’assassin pro et qu’ça môman bossait au quartier de plaisir, moé, j’là voyait là, tou’l matin, à dénicher d’la clientèle pour sa môman! [i]-Turgon, Elfe, Ivrogne professionnel.- - Ah, la petite Kerry, si je m’en souviens! Bien sûr, j’ai mon même assisté à sa naissance, y’a deux ou trois siècle! Une naissance bien facile, comme on en voyait peu à l’époque! Le seul hic : la gamine avait une peau et des cheveux foncés! Pas grand-chose, mais quand on sait que le père comme la mère étaient des elfes pure-souche blanc comme la neige! En même temps, je voudrais pas être méchante, mais avec le métier que faisait sa mère! - Estë, Elfe, Sage-Femme, Morte il y a quelque siècle -- Le portrait de sa mère, ça, sûr pour de chez sûr! Les mêmes yeux gris et la même forme du visage, tendre et grave à la fois! Avec un talent incroyable! Je n’ai jamais vu une telle virtuosité dans la main quand il s’agissait de manier l’archet de son violon! Elle passait d’une note à une autre, jouait n’importe quel air sans problème. Ah vraiment! Quand son père lui a offert un stradivarius pour ces soixante-douze ans, elle le méritait! Dommage qu’elle ait été mêlé à cette sordide histoire, sinon son nom se serait répandu sur tout Autremonde sans problème! Dommage qu’elle ait arrêté de suivre mes cours après la mort de sa mère…-Elis M’anvir, Elfe, professeur de violon-- J’avoue que quand cette jolie jeune femme –Dire que je pensais qu’elle été jeune à l’époque!- a déclaré qu’elle voulait être sangrave, j’ai d’abords pensé qu’elle se moquait de moi, pardon, de nous, et qu’il ne s’agissait que d’une espionne Omoisienne. Mais quand j’ai compris qui elle était réellement, je l’ai immédiatement aidé à devenir sangrave! Je ne pouvais quand même pas laissé une telle jeune fille dans un telle trouble. -Lenina Manticore, Sortcelière, Sangrave, Morte -- Quand sa mère s’est fait tuer, on a pu observer un brusque changement dans son comportement. Elle a commencé à s’intéresser aux armes, et parlait souvent de vengeance.-Riul’n Naw’oul, Elfe, Mort-- Moi, j’étais à la fête d’Omois quand la Maelianne’'tylanhnem T'al Barmi Ab Santa Ab Maru a cassé sa pipe, et pis franchement, quand une impé’ meure assasiné, sans trace de blessure, et qu’là seule suspect est une jeune violoniste, franchement, je crois qu’on peut s’étonner de l’efficacité des services secret!-Témoin de la scène, Mort-- Que cette gamine est assassinée une grande impératrice comme Maelianne’tylanhnem m’étonne pas. Déjà, quand elle a tué le chef de la bande de Mathiew, on comprenait son instinct sanguinaire! Dire que cette foutue elfette a dut s’y prendre à deux fois pour l’avoir, le gars! Et qu’la première fois, ils l’ont laissé pour morte. Dommage qu’elle s’en soit sortie! En plus, son papa s’en ait mêlé, et l’affaire s’est compliqué. Mais il est quand même mort, l’autre!- Moi j’y crois trop pas, à cette enquête! Évidemment, patati patata, le père de la gamine a été mis à mort une semaine plus tôt pour avoir tenté d’assassiné la Maelia’, mais quand même! Quand même! Elle est innocente, not’e p’tite Kerry! Innocente pis bien roulé, pour une elfe!-Jonas Vergun, Mort- - Kerrydwen, c’est notre amie! Alors nous on sait qu’elle a rien foutue dans cette histoire! C’est elle la victime au final! Comment je l’ai connu? Dans notre troupe de théâtre, c’est une de nos championne!-Lewis Bookart, Mort- - Elle, le théâtre? Au oui, elle était géniale! Elle faisait presque tout le temps les rôles les plus dur, ceux de la femme qui sombre dans la folie, de la fille qui perd toute sa famille et finit par se suicider, bref, les rôles tragique! Et avec son visage, qui lui aussi avait l’air d’être empreint d’une sorte de… graveté? Elle avait l’air d’être constamment triste, même quand elle riait. Et puis, sa cicatrice, là, sur la joue gauche, juste sous l’œil, qu’elle a reçut de la part de Fiamba, ça faisait un peu étrange. –Rawbé Nilqwatk, Elfe, Directeur des Grands Théâtre D’Omois- - Le poignard, faut avouer qu’elle ne le maîtrisait pas. Au début, en tout cas. Mais elle voulait s’entraîner, et si il y a une chose qu’elle maîtrise bien, c’est la patience. Elle sait qu’elle a toute sa vie devant elle, et que celle-ci n’est pas prête de se terminer. Elle m’a donc demandé de lui apprendre, et je dois avouer que c’est devenue un véritable plaisir de voir sa natte de Cheveux brun-roux voltiger dans tous les sens pendant qu’elle essayait de me porter un coup. Je sais qu’avec le temps, elle a finit pas développer sa technique personnelle au combat, qu’elle juge lus pratique. Et qui a au moins l’avantage que personne ne s’attend à la voir agir de cette manière.-Gyraw Njiyulf, Sangrave, Maître d’arme- [/size] -Résumé de la vie de Kerrydwen Mildway, demander par Oromë Stilvor (mort)- Kerrydwen Mildway est une elfe, violoniste, comédienne. Son père est assassin, mort depuis peu, sa mère depuis plus longtemps. Elle a possiblement déjà tué pour venger sa mère. Elle était présente à la fête ou l’impératrice Maelianne’tylanhem Tal Barni Ab Santa Ab Maru trouva la mort. Elle avait accès au poison responsable de la mort. Motif du crime : Vengeance. Argent. Son père avait trouvé la mort, exécuté sur la place public pour avoir attenté à la vie de l’impératrice, devait recevoir une prime s’il réussissait sa mission. Kerrydwen a reçu une forte somme d’argent après la mort de l’impératrice.Eh bien, cette affaire n’est pas près de se résoudre, Nagò. Tout converge vers elle, sauf qu’aucune preuve matériel nous prouve qu’elle a commis le meurtre. –Oromë Stilvor-
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